samedi 23 août 2008

SÉLECTION DU 22 AOUT : rentrera, rentrera pas...








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vendredi 22 août 2008

SÉLECTION DU 21 AOUT








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mercredi 20 août 2008

PEUT-ON ME DIRE CE QUE C'EST ?




J'ai vu ça au Canada, et je ne sais pas ce que c'est... très joli !
Avez-vous un nom ?



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mardi 19 août 2008

LE PLAISIR DE CONDUIRE

Ma première voiture fut une Renault 5 achetée dès que mes premières payes l'eurent permis. Je l'ai gardée 12 ans avant d'acheter une Renault Super 5 que j'ai aussi gardée 11 ans. Mais en 1984 je suis tombée en arrêt devant une voiture bleue métallique, une Renault aussi, mais Alpine. Fascinée, j'ai fais le tour de cette berlinette racée, aux lignes fluides, qui dégageait une impression de puissance contenue et d'élégance. J'ai eu le coup de foudre. Elle appartenait à un collègue de travail qui souhaitait la vendre. Je la voulais. En une semaine elle fut à moi. Elle m'a donné des sensations et des sentiments d'orgueil, de puissance, d'exaltation, de plaisir et de satisfactions intenses.

Petite, légère avec sa carrosserie en fibre de verre-polyester, à la fois ramassée et effilée, très basse, le siège étant quasiment au niveau du trottoir, il m'a fallut apprendre a y rentrer sans me couvrir de ridicule. Au démarrage, j'adorais le rugissement du 4 cylindres. Son moteur, situé à l'arrière, développait 84 chevaux à 6.500 tours minutes, pour simplifier l'explication, elle pouvait arracher 100 mètres en 6 secondes. Nerveuse, réagissant à la moindre accélération et au plus petit mouvement de volant, faite pour les balades en montagne (cette voiture-jouet a été championne du monde des rallyes), elle me remplissait d'aise quand je prenais rapidement des virages serrés sans avoir l'impression d'être déportée : sa forme aérodynamique lui donne une tenue de route incroyable. Ce bijoux était ma fierté.

Mais sa possession m'a également procuré un stress lancinant. Amoureuse jalouse de ma berlinette, les regards d'envie, la curiosité et les attroupements qu'elle provoquait si je stationnais en ville (cartes de visites d'acheteurs glissées sous l'essuie-glace, badauds se faisant photographier assis sur le capot, tentatives de vol...) étaient comme une agression que j'ai fini par ne plus supporter. J'ai vendu ma berlinette, mon Alpine Renault A110, la plus belle de toutes les voitures ! Aujourd'hui, c'est le grand regret de ma vie... Et je roule sagement dans une Renault Scénic.



Mais cet été, j'ai eu 2 grands plaisirs. Allant passer quelques jours de vacances en famille, mes cousins m'ont prêté leurs voitures.

Henry m'a présenté sa voiture, la mythiques Lotus Elise, et m'a jeté les clefs en disant : "vas-y, essaie-la !"

Seule au volant, j'ai (presque) retrouvé les sensations de l'Alpine Renault : roadster deux places, petit et très bas, intérieur spartiate, étroit fauteuil-baquet nonobstant confortable, petit volant, direction non assistée ferme et précise, cylindrée de 1800 cm3 et puissance de 135 ch qui lui donne une grande nervosité et des reprises qui arrachent, ouvertures intéressantes sur le capot pour créer un appui aérodynamique sur le train avant, ouïes latérales pour refroidir le moteur : j'ai eu l'impression de conduire une voiture de course. Réagissant instantanément à la moindre sollicitation, souple et précise, cette petite Elise ne se conduit pas, elle se pilote. Dommage, j'étais dans la campagne toulousaine et je n'ai pas pu goûter aux contreforts pyrénéens...




Puis Corinne m'a prêté sa voiture pour mes promenades.

Voiture nettement plus moelleuse, d'un classique chic et élégant mais au tempérament dynamique et sportif, c'est le coupé-cabriolet Eos Carat de Wolswagen.
Puissant moteur de 150 ch, boîte mécanique six vitesses, moderne avec son volant multifonction, son ordinateur de bord et son radar de recul, confortable avec ses sièges sport chauffants et à réglage électrique (hauteur, longueur, lombaires), raffiné avec sa sellerie en cuir et sa carrosserie gris satin.
"Petits" détails qui font le sel de la vie et transmutent les simples promenades en jubilation : le plafond panoramique en verre qui peut coulisser, ainsi que le toit ouvrant qui convertit en quelques secondes le coupé en cabriolet.
Pouvoir humer les senteurs des champs récemment moissonnés, entendre le bruissement des frondaisons, sentir les rayons du soleil et le souffle du vent, apprécier la beauté des paysages, cela confortablement installé, et glisser silencieusement et rapidement en conduisant du bout des doigts, procurent une merveilleuse béatitude et une douce euphorie.



J'ai pris un très vif plaisir à ces différentes conduites.


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lundi 18 août 2008


SÉLECTION DU 17 AOUT








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